Revoir les visages. Enlever les masques. Ceux des pandémies successives, ceux des conventions qui nous enseignent à cacher nos fragilités. Chercher des visages entiers, sortis de l’ombre. Y trouver des profondeurs, parfois sombres, jusqu’à celle d’un rire aux éclats.
J’aime Londres depuis mes 20 ans, le monde entier y semble réuni. Les visages que je photographie me racontent des vies, des peines, des attentes, des amours.